Amberloup I Belgique : reconstitution de la bataille des Ardennes
BELGIUM MEMORY 39-45 8.7 / 10
Musée Organisation à but non lucratif Ville
www.belgium-memory.be Des synergies indispensables pour ne jamais oublier les horreurs du XXème siècle (HIER) Au sein du Belgium Memory 39-45, nous avons cru bon d’ajouter au volet « reconstitution » une information historique rigoureuse facilitant l’approche du Second Conflit mondial. Car, quel que soit le niveau de qualité atteint, nous risquons de n’être qu’un « musée », parfois « vivant » lorsque des scènes sont revécues. Cette volonté constitue notre différence. Cette Différenciation simple mais primordiale. L’ambition première du Belgium Memory 39-45 dépasse certes la commémoration patriotique traditionnelle et la simple concentration de véhicules de la Seconde Guerre mondiale. Nous ne présentons pas seulement un moment de l’histoire, à savoir la libération, avec le rappel des immenses sacrifices consentis par tous ceux qui nous ont libéré mais surtout sans oublier et en mettant à l’Honneur, ceux qui se sont battus 1 contre 10 durant la campagne des 18 jours. (Mai40) Nous voulons donner en plus une leçon aux plus jeunes en expliquant bien les mécanismes, atermoiements, erreurs, … qui ont amené le Second Conflit mondial. Leur montrer ce qu’est la guerre, démonter les causes qui amènent les conflits. Causes que l’on découvre, notamment, dans les méandres de la politique, du pouvoir, de l’économie. Et aussi au plus profond de la nature humaine. C’est pourquoi, en collaboration avec les Associations patriotiques, les autorités communales et les écoles, nous organisons un programme pédagogique par thèmes. Ici intervient, l’O.N.G. Amnesty International Belgique, avec laquelle nous travaillons. Cette coopération, nous n’en doutons pas, ne peut que déboucher sur une compréhension plus large de cet événement. Suscitant ainsi l’intérêt toujours croissant de nos concitoyens. Provoquer, au moyen de ces synergies, une prise de conscientisation constitue le but commun et notre vraie raison d’être. Parler de ces tristes évènements va au-delà d’un devoir de mémoire : c’est un devoir d’avenir. Une leçon de civisme et de citoyenneté